Relation Sociale

Chapitre 1  → la relation sociale

I/ Précision conceptuelle

Notion de tissu sociale. Les mailles sont les relations et les filaments sont les individus.

• Deux mécanismes pour qualifier les relations : 

• l’affiliation : satisfaction du besoin fondamental de devoir compter sur les autres. Relations conventionnelles défini par une structure hiérarchique. Pourvoir compter sur l’autre mais pas au même niveau personnel. On peut avoir une affiliation qui soit-interpersonnel → le mariage.
• l’attraction : l’attirance. Dimension affective, non basé sur des normes sociales mais sur des normes affectives. Plus se rapprocher et se traduit par des attitudes positives (ex : on souris). Relations basées sur l’affecte. Affecte créer la relation d’attraction.

Théorie d’attraction : lien affectif qui est passé entre deux individus. Deux théories expliquent l’existence de cette relation :

• relation indispensables car les individus ont besoin de vivre en groupe.
• L’attraction découle des soins apporter aux enfants qui créer en réponse chez l’enfant un retour affectif et met en place un mécanisme d’attachement. Ce qui met en place un mécanisme d’attraction.

• Pour l’affiliation, il a aussi comme mécanisme la socialisation : les processus d’apprentissage des normes et des valeurs. Cela s’explique par trois besoins fondamentaux

• Le besoin d’affection qui est construit dans une logique utilitaire, apprendre les normes et les habitudes a des fins pratiques.
• Le besoin d’inclusion, l’être humain a besoin de se sentir appartenir a un groupe et d’avoir des contactes et des communications.
• Le besoin de contrôle, avoir pris sur autrui pour un sentiment de sécurité mais de sécurité physique. Ce besoin est légitime car on a souvent en face de nous un inconnu.

Socialisation : En terme de développement s’explique par le soin des parents accordé aux enfants. Ce qui va être intériorisé par l’enfant et celui ci va construire sa personnalité, car chaque famille à des normes et des valeurs, quelque fois elles ne sont pas toujours en adéquation avec la société.

• Il faut aussi prendre en compte la question de la similitude et complémentarité :

• Théorie de la similitude : joue a diffèrent niveau, mais aussi sur des questions morales.  Avoir des traits communs, regroupement ethnique.
• Théorie de la complémentarité : des forces et des faiblesses qui se complète.

L’apparence physique compte dans les deux, ce la a un effet sur le premier contacte et un effet de dépense au sentier (path dépendency). La 1ère impression performatives, elle est auto réalisatrice.

II/ La détermination de la relation par le contexte, la distance et la temporalité.

1. le contexte

• L’institution (quel type de relation dans celle-ci ?) ex : iseg, le cadre change mais pas l’institution. Une structure avec sa propre dynamique. Les agents ont des codes de conduite (ex : poste-boîte)
• Le cadre, c’est l’espace concret
• La situation de l’interaction, l’enjeu et l’objet de l’interaction.

1. la distance

La distance physique : la facilité a contacter, la proximité, espace imposé et que l’on s’impose.

La distance en tant que conséquence : les cercles d’intimités, suivant l’intimité que l’on a avec la personne en face de nous on impose une distance.